mercredi 23 mai 2018

Saison 3 - Episode 15 - BUNKER - Partie 4 - Version "IMAGE"





Version "IMAGE"



Cette Web série est une fiction.

Toute ressemblance avec des personnes 
ou des situations réelles ou ayant existées 
ne serait que pure coïncidence


- Saison 3 -

- Episode 15 - Bunker


Partie 4: Le repaire



Résumé de l’épisode précédent : Jurgen ADENOER et ses hommes, ainsi que Helmut SPRILER, un homme des renseignements allemands ont réussi à faire croire à Vladimir VAPATROVITCH, un membre des VOLKI, une mafia russe, qu’il avait réussi à s’enfuir après un faux accident de son fourgon cellulaire. Celui-ci a pris un autocar qui l’a emmené directement à BERLIN. Il est ensuite monté dans un taxi. Le GSG9 le suit à distance grâce à deux Traceurs qui ont été installés dans ses chaussures… Est ce que la tanière du chef des VOLKI, Nikolaï KASPATINOFF, l’homme qui veut détruire le GSG9 se trouve là ???

La suite maintenant:


18h57, dans l’EST de BERLIN,


Hank, membre du GSG9, dans le Mercedes SPRINTER Gris : « Ici DELTA, on est derrière le taxi du suspect… »


Hank : « Il vient de tourner à gauche… »

Jurgen ADENOER : « Continuez tout droit. Pareil pour CHARLIE. Nous, nous allons tourner avec BRAVO ! »


Jurgen ADENOER : « Je sens que l’on se rapproche de sa cachette… »


Helmut SPRILER : « Nous sommes dans l’ancienne zone Est-allemande de BERLIN où se trouvaient les ministères et bâtiments administratifs de la RFA… »


Jurgen ADENOER : « Le taxi va s’arrêter… On va se garer plus loin. BRAVO, gare toi dès que tu peux ! » »


JB, dans la BMW Break blanche : « Ici BRAVO. Je confirme. Il est descendu du taxi… »



Jurgen ADENOER : « Oui. Nous le voyons traverser la rue… »


Helmut SPRILER : « Il s’arrête devant cette grille… »


JB, dans la BMW Break blanche : « Un homme s’approche de lui. On dirait le gardien de cet endroit… »


Jurgen ADENOER : « Oui. On les voit… »


JB, dans la BMW Break blanche : « Ici BRAVO. Je vois une voiture qui s’approche de notre suspect… »


JB, dans la BMW Break blanche : « Elle se gare devant lui.. »


JB, dans la BMW Break blanche : « Il monte dans la voiture… »

Jurgen ADENOER : « Trouvons un endroit en hauteur pour observer cette propriété et savoir à qui elle appartient ! »


Quelques instants plus tard

Jurgen ADENOER : « Est ce que c'est ici que se trouve la base des VOLKI ??? Il faut savoir à qui appartient cet endroit rapidement ! »

Helmut SPRILER du BfV : « Je vais bientôt avoir des informations. J'ai contacté nos services de BERLIN… »


Helma SCHEFER : «  Le Traceur indique qu’il ne bouge plus. Il est dans le bâtiment devant nous… »

Jurgen ADENOER : «  Vous en savez plus sur ce lieu ? »


Helmut SPRILER du BfV : « Oui, Je viens d'avoir l'information: cet endroit est une ancienne annexe de l’Ambassade soviétique dans les années 80. Après la chute du mur de BERLIN et de l’Union Soviétique, ce bâtiment est resté à l’abandon et a été racheté en 2010… Et devinez qui travaillait à cette adresse avant 1989 ? »

Jurgen ADENOER : « Nikolaï KASPATINOFF !!! »

Helmut SPRILER : « OUI !!! »


Jurgen ADENOER : « Mais pourquoi ici ? »

Helmut SPRILER : «  Sous les airs d’une ancienne zone abandonnée, qui se douterait qu’en faite c’est une planque d’une mafia russe ? 
C’est LA planque parfaite… »


Jurgen ADENOER : « Maintenant à savoir si le fameux Nikolaï KASPATINOFF, le chef des VOLKI, cette mafia russe est ici… »


JB: « Ici BRAVO, deux voitures viennent d’arriver devant l’entrée principale… »


JB: « Elles entrent… »



JB: « Je vous transfère la vision de mes jumelles ! »


Helmut SPRILER : «  Regardez ! VAPATROVITCH sort du bâtiment central… »


Jurgen ADENOER : « Il salue cet homme qui descend de la voiture… »


Helmut SPRILER : «  KASPATINOFF !!! C’est LUI !!!»


Jurgen ADENOER : « Ils entrent dans ce bâtiment principal… »


Helma SCHEFFER, membre du GSG9 : « Kommandeur, les deux Traceurs viennent de disparaître !!! »


Helma SCHEFFER : « Il n’y a plus rien sur l’écran… »

Jurgen ADENOER : « QUOI ??? Ils les ont certainement découverts ??? »


Jurgen ADENOER : « Il faut que nous intervenions tout de suite !»










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