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Cette Web série est une fiction.
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Toute ressemblance avec des personnes
ou des situations réelles ou ayant existées
ne serait que pure coïncidence
ou des situations réelles ou ayant existées
ne serait que pure coïncidence
3ème SAISON
Episode 12 : Vengeance
Partie 4 : Analyses
Résumé de la partie
précédente : Un homme a pris en otage un directeur d’une brasserie de
bière à DRESDE. Les SEK ont tenté d’entrer dans l’usine, mais une explosion, montrant que les entrées étaient piégées, a décidé les autorités de faire
intervenir le GSG9.
Zone industrielle de
Dresde, Mardi, 11h32
Poste de commandement
avancé
Gereon PILLKURF, responsable de la sureté de la ville de
Dresde : « Où en
est-on capitaine ? »
est-on capitaine ? »
Capitaine Greg SULKER, responsable des Bereischafspolizei :
« La circulation est déviée et toutes les personnes dans les
entreprises alentours ont été évacuées… »
Wioouu Wiooouu
Gereon PILLKURF : « Le
GSG9 !!! »
Jurgen ADENOER : « Je suis Jurgen
ADENOER, kommandeur de cette équipe du GSG9. Nous étions sur Berlin et
nous sommes arrivés ici le plus rapidement…»
Gereon PILLKURF : « Bonjour,
PILLKURF, responsable de la sureté de la ville de Dresde. Nous avons établi
notre poste de commandement avancé ici dans ce garage. »
Jurgen ADENOER : « Point de la
situation ? »
Gereon PILLKURF : « Un homme a pris
le directeur en otage de cette usine. Alors que nos membres du SEK ont tenté d'entrer dans l’enceinte de cette usine, des bonbonnes de gaz ont explosées à leur approche. Nous
avons 3 blessés légers mais en état de choc. Ils avaient un bouclier qui a
atténué le souffle de l’explosion et protégé des débris… »
Gereon PILLKURF : « Nos renforts ont
sécurisé l’entrée.
Il ne peut pas sortir par là… »
Il ne peut pas sortir par là… »
Gereon PILLKURF : « Tous nos membres
du SEK ont été déployés autour de l’usine. »
Gereon PILLKURF : « Nous avons
évacué toutes les personnes autour de l’usine et avons mis des forces de
l’ordre pour empêcher toute intrusion. »
Gereon PILLKURF : « Nous en avons
profité pour tenir les médias loin de la zone, pour qu’ils ne filment pas nos
progressions au cas où le preneur d’otage écouterait la radio ou regarderait la télévision… »
Jurgen ADENOER : « Très bien. »
Gereon PILLKURF : « Voici Monsieur
GUTBORG, l’un des directeurs du groupe qui gère cette usine. »
Jurgen ADENOER : « Que pouvez vous
me dire sur cette entreprise ? »
Helmfried GUTBORG : « C’est un
groupe qui réunit une trentaine d’usines de production de bière allemande. Ici,
c’est une petite unité de production, mais c’est la plus ancienne de notre
groupe. »
Jurgen ADENOER : « Et sur le
directeur de cette usine ? »
Helmfried GUTBORG : « Il a hérité de
son père, décédé l’année dernière, des parts du groupe. Il est d’ailleurs
l’actionnaire majoritaire de notre entreprise, et fait partie du conseil
d’administration. C’est son idée de délocaliser en Pologne cette usine de production et d'embouteillage pour faire une
économie sur les charges salariales… »
Jurgen ADENOER : « Et l’homme qui a
pris en otage ce directeur ? »
Gereon PILLKURF : « Voici Peter
KRAFT, le délégué syndical de cette usine qui est à l’origine de cette
action !!! »
Peter KRAFT : « Il s’appelle
Filibert KULL. C’est un ouvrier qui est ici depuis 8 ans. C’est grâce à sa
femme qui est secrétaire de direction ici, qu’il est entré dans cette usine.
Auparavant, il était démineur dans l’armée de terre… Nous étions déterminé
à protéger notre usine contre cette délocalisation. C’est lui qui a placé les
bonbonnes de gaz mais elles ne devaient pas être piégées. C’était simplement
pour faire peur. Il a piégé certainement plusieurs endroits. Il connaît
parfaitement cette usine…»
Gereon PILLKURF : « La femme qui est
là s’appelle Suzann KULL, c’est l’épouse du preneur d’otage, et elle est aussi
la secrétaire du directeur. Elle nous a confié qu’elle avait eu une aventure
avec le directeur de cette usine et que son mari avait dû le découvrir. Pur elle, c’est pour cela qu’il l’a pris en otage… »
Jurgen ADENOER : « Bon. Mes hommes
vont analyser l’usine rapidement et on fait un point dans 10 minutes. »
10 minutes plus tard
Klaus, membre du GSG9 : « Nous avons
observé ce qui est visible de l’extérieur et voici le résultat. »
Klaus, membre du GSG9 : « L’une de
nos équipes de snipers a pu observer plusieurs endroits dangereux dans la cour
de l’usine. »
Klaus, membre du GSG9 : « Sur le
quai de chargement, il y a deux bonbonnes… »
Klaus, membre du GSG9 : « Devant
l’entrée, dans la voiture la plus proche de l’entrée, il y a aussi deux petites
bonbonnes. »
Klaus, membre du GSG9 : « Ils ont
repéré qu’il y a sur l’embout des bonbonnes un dispositif relié à un téléphone
portable. Donc le preneur d’otage a certainement créé un dispositif qu’il peut
télécommander à distance du fait de ses connaissances de démineur dans
l’armée…»
Klaus, membre du GSG9 : « Il n’y a
qu’une seule entrée. Il y a plusieurs grosses poubelles devant qui sont fermées. Il
est possible qu’il ait mis un autre dispositif que celui qui a explosé tout à
l’heure… »
Klaus, membre du GSG9 : « Nous avons
utilisé un drone pour repérer d'autres issues possibles pour entrer sans se faire
repérer… »
Klaus, membre du GSG9 : « L’arrière
est commun avec d’autres entreprises, mais nos hommes seraient trop à découvert si ils entraient grâce à une échelle. L’approche en hélicoptère, pour nous
déposer sur le toit principal de l’usine, est aussi à éliminer car trop
bruyant. »
Klaus, membre du GSG9 : « Il reste
la possibilité d’utiliser une grue d’un chantier voisin où nous pourrions
descendre en rappel et ensuite pouvoir progresser dans l’usine en entrant par le toit… »
Jurgen ADENOER : « Très bien. Nous
allons nous préparer pour intervenir le plus rapidement possible… »
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