lundi 2 juillet 2018

Saison 4 - Episode 2 - Revanche - Partie 1 - Version "IMAGE"



Version "IMAGE"



Cette Web série est une fiction.


Toute ressemblance avec des personnes 
ou des situations réelles ou ayant existées 
ne serait que pure coïncidence




Saison 4

- Episode 2 - REVANCHE

Partie 1 : Retour à la maison


Aérogare de JFK, New York, Lundi 23 avril, 19h01 heure locale


Jurgen ADENOER : « Prenez vos valises… »


Jurgen ADENOER : « Nous devons nous enregistrer avant 19h45… »


Jurgen ADENOER : « Agent GOODSPEED !!! »

Agent Spécial Harry GOODSPEED : « Bonjour, je suis venu avant que vous retourniez en Allemagne pour vous donner les dernières avancées sur l’enquête  du camion fou contre votre Chancelière. 


>>> en cliquant ici <<<



Agent Spécial Harry GOODSPEED : « Nous avons l’identité de l’homme qui a été abattu hier, par un sniper inconnu, après avoir foncé sur votre Chancelière. Il s’agit d’un allemand de 43 ans qui s’appellait Alfons LIVINUNG. Il travaillait depuis deux ans aux USA légalement, grâce à une carte verte, comme chauffeur routier dans une entreprise de coursiers. Il n’a pas d’antécédents policiers depuis qu’il est arrivé ici : pas d’arrestation, ni contravention. Rien !!! »


Agent Spécial Harry GOODSPEED : « Nous avons cependant trouvé, dans le camion qui a servi à cette tentative, des articles de presse prédécoupés sur l’arrivée de migrants en Allemagne et de la bienveillance, à l’époque, qu’il y a eu lors de leurs arrivées par les autorités allemandes. »


Agent Spécial Harry GOODSPEED : « Les migrants avaient même donné un surnom à la Chancelière : MAMA NERKEL… Nous nous orientons vers une tentative d’assassinat pour des raisons politiques. Certainement, Alfons LIVINUNG était contre l’arrivée de migrants sur le territoire allemand. Quand au sniper inconnu qui l'a abattu, aucune trace… »


Alexandra ZOLLER du PSA BPOL : « Nos services de renseignements allemands et vos services américains vont travailler étroitement ensemble pour résoudre et trouver les complices de cette histoire… »

Agent Spécial Harry GOODSPEED : « Oui. Très certainement à bientôt… Bon voyage à vous et vos équipes ! »


Quelques mètres plus loin

Homme en noir : « C’est bon Sœur Supérieure, vos valises sont enregistrées. »


Monika MOBILI : « Merci. C’est amusant. Nous rentrons par le même avion que le GSG9 et les hommes qui ont protégé la Chancelière… »


7 heures plus tard, Aéroport de BERLIN, Mardi 24 avril, 09h30


Jurgen ADENOER : « Voici notre autocar pour rentrer sur BONN. Regroupons nous ! »


Jurgen ADENOER : « Qu’est ce qui se passe ??? »


Jurgen ADENOER : « SPRILER !!! »

Helmut SPRILER du BfV : « Kommandeur, nous avons besoin de vous et de vos hommes… »


Helmut SPRILER : « Vous trouverez équipements et armes dans les voitures du « GSG9 BERLIN ». »


Alexandra ZOLLER du PSA BPOL : « Ne vous inquiétez pas pour vos bagages Jurgen, je m’en occupe. »


Quelques mètres plus loin

Monika MOBILI : « Que fait son Excellence ??? »


Homme en noir : « Sœur Supérieure… La voiture de son Excellence arrive… »


Passager dans la Maybach Blanche : « Montez Monika ! »

Monika MOBILI : « Oui Excellence… »


Dans la MAYBACH Blanche,

Passager dans la limousine : « Alors ce voyage ? »

Monika MOBILI : « Tout s’est déroulé comme prévu, Excellence... Nous avons laissé des fausses preuves dans la cabine du camion. Ils vont croire que Alfons était contre les mesures du gouvernement pour les migrants. Ils vont certainement penser que c’est un acte politique… »


Passager dans la limousine : « Parfait !!! Nous allons pouvoir lancer la suite du projet « RENOUVEAU » avec l’opération « PANIQUE ». Cela s’ajoutera aux missions du GSG9… Héhéhé… »


Jurgen ADENOER : « Alors que se passe-t-il ? »

Helmut SPRILER : « Il y a deux semaines, vos équipes étaient intervenues à BERLIN, dans la cache d’une Mafia Russe. »





Helmut SPRILER : « Pour être tranquille et devant la masse d’argent et d’objets de valeur qu'il y avait là-bas, nous avons fait l’inventaire sur place. Nous avions terminé hier soir, et nous avons commencé ce matin l’évacuation du Bunker, en convois sécurisés. »


Jurgen ADENOER : « Et ils ont attaqué celui avec l’argent ??? »

Helmut SPRILER : « Non… Un autre convoi, mais bien plus difficile à écouler. Nous allons sur le lieu où il a été volé. »














Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire