Qui sont vraiment les
casseurs
du 24 novembre et du 01
décembre 2018
en France ?
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Mise à jour:15/02/2019
Manifestant proche de
la Place de l’Etoile à Paris le 01/12/18
Face à des manifestations dans toute la France depuis la
mi-novembre 2018, d’un mouvement appelé « Gilets Jaunes », un
durcissement dans des violences a lieu au fil des manifestations, dont
certaines sont organisées, chaque samedi, sur les Champs Elysées à Paris.
Manifestants lors de
l’action du 17/11/18 des Gilets Jaune place de la Concorde à Paris
La
première manifestation du samedi 17 novembre 2018 avait créé un débordement au
bas des Champs Elysées, tout près de l'Assemblée Nationale et du Palais de l’Elysée, résidence du Président
de la République Française.
Barricade montée sur
les Champs Elysées le 24/11/18
Les procédures de protection statiques par
les Forces de l’Ordre lors de la deuxième manifestation des « Gilets
Jaunes », le 24 novembre 2018, avaient été renforcées aux abords du Palais de l’Elysée, de Matignon, de l’Assemblée Nationale et autres lieux d'institutions publiques.
L'une d'elle, d'ailleurs, dû faire face à 500 manifestants imprévus devant le Sénat, ce jour-là, qui ne purent s'approcher de ses bâtiments.
Gendarmes mobiles devant la Chaussée de la Madeleine à Paris le 24/11/18
Un endroit sécurisé, sur le Champs de Mars devant la Tour Eiffel, fut proposé par la Préfecture de Police de Paris, mais très peu de manifestants s’y sont rendus, préférant aller à l’Arc de Triomphe, puis descendre sur l’Avenue des Champs Elysées.
Cela n’a pas empêché d’assister à des actes de violence, des dégradations et des barricades en pleine avenue…
L'une d'elle, d'ailleurs, dû faire face à 500 manifestants imprévus devant le Sénat, ce jour-là, qui ne purent s'approcher de ses bâtiments.
Gendarmes mobiles devant la Chaussée de la Madeleine à Paris le 24/11/18
Un endroit sécurisé, sur le Champs de Mars devant la Tour Eiffel, fut proposé par la Préfecture de Police de Paris, mais très peu de manifestants s’y sont rendus, préférant aller à l’Arc de Triomphe, puis descendre sur l’Avenue des Champs Elysées.
Cela n’a pas empêché d’assister à des actes de violence, des dégradations et des barricades en pleine avenue…
Les Forces de l'Ordre en présence étaient des Compagnies Républicaines de Sécurité (CRS), des Escadrons de Gendarmerie Mobile (EGM) et des Compagnies de Sécurisation et d'Intervention (CSI):
Contrôle de sac d’un
piéton lors du 01/12/2018 sur les Champs Elysées
Il fut donc décidé que
lors de la nouvelle manifestation du 01 décembre 2018, et dans l’optique de la
liberté d’expression, même si la manifestation n'était pas autorisée, de filtrer les abords des Champs Elysées, avec
présentation de pièce d’identité et une fouille systématique des sacs, comme
une grande « fans Zone » lors de matchs de football, pour éviter à
des casseurs de s’infiltrer parmi les manifestants avec marteau, bombe de
peinture lance pierre, masque à gaz, lunettes de ski pour se protéger des
effets du gaz lacrymogène…
Vidéo de préparation de la journée du 01/12/18
De nombreuses unités de CRS et de Gendarmes Mobiles étaient prévues, soit plus de 4.000 policiers et gendarmes. En effet, d'autres manifestations avaient également lieu ce jour là sur Paris:
- 12h00 Place de la République:
Manifestation contre le Chomage et la précarité
- 12h00 Place du Panthéon:
Manifestation d'étudiants pour protester contre la Hausse des frais d'inscription des étudiants étrangers
- 14h00 Place de la Nation:
Marche contre le Racisme
- 17h00 Place de la République:
Rassemblement pour la Journée Mondiale contre le SIDA
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Cependant, pratiquement dès le début de la matinée, des
individus ont voulu forcer l’un des barrages en haut de l’Avenue des Champs Elysées,
proche de l’Arc de Triomphe, comme en témoigne ces images sur la vidéo
ci-dessus. Ce qui entraina une réponse des Forces de l’Ordre pour disperser ces
individus.
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Individus s’en
prenant à des gendarmes mobiles à Paris le 01/12/18
Profitant de la masse, et selon des
informations de la DGSI, le service de renseignement français, des membres de "l’Ultra droite", ainsi que de "l’Ultra Gauche", étaient parmi les « Gilets
Jaunes » pour que cette manifestation dégénère à nouveau.
Les Autorités ont accusé également des membres de l'Ultra droite d'avoir été dans les premières actions violentes, durant le début de la manifestation du 01 décembre 2018. D'autres s'étant insérés en province sur certains lieux de manifestations. Certains affichant même des symboles de l'Extrême Droite comme sur le lien ci-dessous.
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Photo de la Place de la Concorde lors des émeutes anti parlementaires du 06 février 1934
Ce type de situations renvoyant à l'histoire, avec les émeutes sanglantes antiparlementaires de février 1934, faisant 15 morts immédiats sur une totalité de 37 morts en comptant les décès ultérieurs à ces violences et plus de 2.000 blessés.
Manifestants dans une
avenue de Paris le 01/12/18
Connus dans des actions, depuis une vingtaine
d’années, dans la création de désordre durant les manifestations en France,
comme vous pouvez le voir sur le lien ci-dessous, ces membres, déguisés en
« Gilet Jaune », ont ainsi créé des « Yellow Blocs » (bloc jaune) à l’image des techniques des
« Black Blocs » (Blocs
Noirs).
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Ce type d’actions s’apparente à une technique connue sous le nom de SWARMING (Essaim). Bougeant en groupe et étant très mobiles, ils s’adaptent, se déforment, se reforment et sont tantôt offensifs, tantôt en repli.
Individu casqué,
masqué et gantés s’apprêtant à lancer une pierre le 01/12/18 à Paris
En
plus d’avoir la même couleur que l'ensemble dans lequel ils évoluent, ils sont très souvent gantés, avec casque et
masque pour ne pas être identifié.
Individus dépavant
une avenue de Paris à l’aide d’une grille de protection d’arbre le 01/12/18
De même, ils utilisent ce qu’ils trouvent sur place, pour créer des projectiles
pour pouvoir ensuite les lancer sur les Forces de l’Ordre.
Vidéo des Violences sur la Place de l'Etoile et des Avenues adjacents à Paris le 01/12/18
Sur cette vidéo de 28 minutes, vous pourrez voir les violences,
ainsi que les débordements s'en prenant à des biens privés et publics, et montrant comment procèdent de nombreux casseurs.
Vidéo de la Caméra piéton d'un gendarme mobile le 01/12/18 à Paris
Sur cette autre vidéo plus courte, on peut voir avec une caméra piéton installée sur un des gendarmes mobiles, un autre angle de l'intervention devant l'Arc de Triomphe le 01/12/18
Sur cette autre vidéo plus courte, on peut voir avec une caméra piéton installée sur un des gendarmes mobiles, un autre angle de l'intervention devant l'Arc de Triomphe le 01/12/18
Individu lançant une
barrière métallique le 01/12/18 à Paris
Ils se sont mêlés avec des
personnes qui habituellement ne manifestent pas violemment, cependant certains "Gilets Jaunes" radicalisés, possédaient dans leur sac à dos des pétards, pierres et masque... L'effet d'entrainement de la violence de cet ensemble a décuplé les actions face au rétablissement des Forces de l'Ordre qui venaient au contact, créant un effet de masse jaune,
difficile à contrôler…
Arrestation par des policiers des CSI d’un individu masqué et gantés le 01/12/18
La preuve étant les profils de nombreuses personnes arrêtées ou blessées qui n’étaient pas connues des services de police et qui n’avaient pas de masque, de casque ou de gant lors de leur interpellation. Certaines de ces personnes arrêtées étaient commerçant, chauffeur routier, artisan venus de province.
Lien sur différents articles présentant les personnes arrêtées:
Lien sur un article de France InfoLien sur différents articles présentant les personnes arrêtées:
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et ici sur un article de France Inter sur le profil des personnes arrêtées
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Individu se servant d’un lance pierre le 01/12/2018
Certains utilisent également des lances pierre pouvant blesser des Forces de l’Ordre. Un policier a ainsi été touché à l’œil malgré ses protections par un écrou le 24/11/18
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Pour rappel, voici l’échelle d’intervention des Forces de
l’Ordre française pour expliquer les moyens employés par les autorités.
Cabane de chantier
brulée sur les Champs Elysées le 01/012/18
Ce comportement d’entrainement
de l’Ultra Gauche est connu. Profitant soit d’une manifestation pacifiste, soit
d’un mouvement de colère de citoyens, comme c’est le cas avec les « Gilets
Jaunes », cela permet de créer un chaos qui semble permanent pour créer un
déséquilibre social et illustrer les fondements de l’Anarchie : Pas
de domination politique exercée par l’Etat, pas de domination économique
exercée par le Capital et pas de domination religieuse exercée par l’idée de
Dieu.
Barricade et feu avec
au loin l’Arc de Triomphe à Paris, le 01/12/2018
De plus, la médiatisation
dans ces violences est recherchée soit dans des dégradations de biens publics
ou privés toujours plus importantes ou choquantes, soit dans des images
symboliques comme ici sur les Avenues des Champs Elysées en feu, qui seront par
la suite diffusées sur les Réseaux sociaux, publiées dans des quotidiens, hebdomadaires
ou revues, ainsi que filmées dans les médias internet ou télévisuels avec des
relais dans les médias d’autres pays…
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Individus dépavant
une rue de Hambourg en juillet 2017 lors du G20
pour les lancer sur les Forces de l’Ordre
allemandes
On se rapproche de la même volonté de créer ce chaos, comme lors
du G20 à Hambourg entre le 06 et 08 juillet 2017.
Qui se cachent derrière les violences qui se sont déroulées
lors du G20 du 6-7 et 8 juillet 2017 à Hambourg ?
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Voitures incendiées
dans les rues de Paris le 01/012/18
Rien que pour la ville de Paris, le 01
décembre 2018, plus de 240 départs de feu ont eu lieu et traités par les
Pompiers de Paris dont plus de 110 véhicules, plus de 120 blessés, dont une
vingtaine de Forces de l’Ordre.
Camion lanceur d’eau face à des
manifestants le 24/11/18 sur les Champs Elysées
De nombreux moyens ont été
utilisés pour rétablir l’ordre en utilisant des camions lanceurs d’eau,
Cavaliers de la Police
Nationale dans une rue de Paris lors des manifestations du 01/12/18
ou des
brigades montées de la Préfecture de Police de Paris, comme ici Boulevard Haussmann.
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Manifestants face à
des Gendarmes Mobiles le 24/11/18 sur les Champs Elysées
Plus de 12.000
grenades lacrymogènes ont été lancées durant la journée du 01 décembre rien
qu’à Paris, dans la doctrine
« d’éviter le contact pour ne pas blesser. »
« d’éviter le contact pour ne pas blesser. »
Gendarmes mobiles à
Paris le 01/12/18
Cette méthode est issue de la longue histoire du Maintien
de l’Ordre à la Française :
Individus s’en prenant à des véhicules dans une rue de Paris le 01/12/18
Cependant, les
casseurs ont été très mobiles…En effet, par rapport à une manifestation
classique où l'on connaît le déroulement et les rues prises par les manifestants, celle-ci n’était
pas possible, d’abord par la zone à sécuriser : les Champs Elysées, le
Palais de l’Elysée, la place de la Concorde, l’Assemblée Nationale, les autres lieux de manifestations comme sur la Place du Panthéon, de la République et de la Nation,
ainsi que d’autres bâtiments officiels…
ainsi que d’autres bâtiments officiels…
Des vidéos montrant des policiers en civil habillés en "gilet jaune" ont été diffusé sur les Réseaux Sociaux indiquant que c'était des casseurs et que c'était la Police qui infiltrait la manifestation pour créer plus de chaos. Celle-ci a démenti ces vidéos, sur sa page FACEBOOK, et expliqué le rôle de ces policiers en civil:
et ici un lien sur des "Fake News" édités par le quotidien "le Parisien"
sur des vidéos diffusées et qui montrent que les dates de ces vidéos ne correspondent pas à ce qui est écrit dans les intitulés...
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Voitures incendiées dans une rue de Paris le 01/12/18
Ce genre de contestations et d’actions violentes est voulu, pour de nombreux émeutiers, dans une ressemblance des émeutes de mai 1968, qui ont eu lieu cinquante ans plus tôt…
En effet, en mai 1968, les émeutes ont duré plus d'un mois dans les rues de Paris, et dans plusieurs endroits en France.
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Individu lançant une
pierre sur une vitrine parisienne le 01/12/18
Face aux dégradations du
mobilier urbain, s’ajoute les dégradations de vitrines de banques ou de
magasins de luxe
Scènes de pillage d'un magasin de quartier à Paris le 01/12/18
Dans la soirée, des scènes de pillage ont eu lieu par d'autres individus n'ayant aucun lien avec le mouvement des "Gilets Jaunes", comme on peut le voir sur cette vidéo.
Gendarmes mobiles en
protection dans une rue de Bordeaux le 01/12/18
S’agrègent sur ces actions de
chaos, des groupes en province, comme on a pu le voir sur Bordeaux, Nantes ou
Marseille. Dans ces violences, des policiers ont été arrosés d’acide à Tours. Sans parler de scènes de pillage de commerces avec des individus sans rapport avec les "Gilets Jaunes".
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Vidéo du 01/12/2018 à Dijon
ou comme ici, sur cette vidéo, à Dijon, avec des confrontations avec des manifestants
Bâtiment incendié où
se trouvait les bureaux du Peloton d’autoroute de la Gendarmerie de Narbonne le
01/12/18
D’autres actions violentes ont également eu lieu comme sur le
Péage de Narbonne, avec en plus des dégradations du péage, l'incendie du Peloton
d’autoroute de la Gendarmerie et le PC Sécurité de l’Autoroute jouxtant ce
péage…
Incendie d’un
bâtiment de la Préfecture du Puy en Velay le 01/12/18
La Préfecture du Puy en Velay a également été incendiée.
>>> de cet incendie en cliquant ici <<<
Individus face à des
CRS sur une des avenues de Paris menant à l’Arc de Triomphe le 01/12/18
Pour faire face à ces agressions, une doctrine du Maintien de l’Ordre est actuellement adoptée sur un axe majeur : La Judiciarisation des fauteurs de troubles.
Cela faisant effet suite aux RETEX (Retour d’expérience) d’opérations
précédentes, entre autres sur l’évacuation de « Zadistes » à
Notre Dame des Landes, proche de
Nantes, en 2018 ou lors des mouvements étudiants autour des universités en mai
2018.
Trois principes sont pris en compte :
1- Mieux préparer et anticiper les manœuvres d’ordre public
2- Garantir l’application pleine et entière du droit
3- Mieux expliquer et toujours plus communiquer sur le sens de
l’action engagée.
Voitures incendiées
dans les rues de Paris le 01/12/18
Pour exemple, plus de 370 arrestations
ont eu lieu rien que sur Paris, durant la journée du 01 décembre 2018, dont les 2/3 ont été déférées, en
augmentation face à la centaine de personnes arrêtées précédemment le 24 novembre 2018.
>>> en cliquant ici <<<
Pour comprendre ce qui s'est passé, le Ministre de l'Intérieur de l'époque a été auditionné à l'Assemblée Nationale sur les évènements survenus à l'occasion de ces manifestations le 03/12/18.
Selon le Ministère de l'Intérieur, 682 personnes ont été interpellés samedi 01/12/18 en France dont 412 à Paris. (630 ont été placées en garde à vue.) 263 personnes ont été blessées, dont 81 membres des Forces de l'Ordre.
Il a été indiqué la difficulté rencontrée par ses services en matière de renseignement, suite à des télécommunications cryptées de manifestants violents.
Le Ministre de l'Intérieur a estimé que des moyens différents ainsi qu'un changement de la doctrine et des conditions d'emploi du maintien de l'ordre étaient nécessaires afin de faire face à des manifestations d'une nature nouvelle.
La fatigue et la fragilité des effectifs est aussi une réflexion du fait de la durée des engagements face aux manifestations: Il a été rappelé qu'en 2008, 31.167 gardes mobiles et CRS cumulés constituaient les Forces de Maintien de l'Ordre (M.O).
En 2018, il y a 26.800 membres du M.O. Les raisons de cette baisse d'effectif s'expliquent par les faits suivants: 15 escadrons de gendarmerie ont été supprimés et l'effectif des CRS n'a pas changé, mais la composition de leurs effectifs de deux tiers des Compagnies est passé à trois sections contre quatre auparavant, augmentant ainsi le nombre de Compagnies, mais pas l'effectif...
Une quatrième manifestation avait été annoncée sur les Réseaux Sociaux, à nouveau sur les Champs Elysées, pour le samedi 08 décembre 2018...
Des policiers et un maitre chien progressant dans une rue de Paris le 08/12/18La gestion des journées du samedi 08 et du 15 décembre 2018 fut totalement différente dans toute la France, avec l'utilisation des "DAR", (Dispositif d'Action Rapide), de "VBRG" (Véhicule Blindé sur Roue de la Gendarmerie) et de cavaliers de la Police Nationale, comme vous le verrez sous le lien suivant:
Gestion des manifestations
du 08 et 15/12/2018 en France
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Membre d'un CSI visant avec un LBD 40
Les manifestations des Gilets jaunes ont continué début 2019. L'utilisation du lanceur de balle "LBD 40" est décrié par son utilisation par de nombreuses associations suite à un nombre important de blessures.
Vous pouvez retrouver sous le lien ci-dessous une réflexion sur les attitudes sur le rétablissement de l'ordre en France depuis ces manifestations régulières qui dégénèrent en violence dans certaines villes françaises et voir comment font les autres pays dans le rétablissement de l'ordre:
dans le Rétablissement de l'ordre en France,
suite aux émeutes deFin 2018 et début 2019
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Cet article évoluera
en fonction de l’actualité
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