dimanche 2 septembre 2018

Saison 4 - Episode 3 - Le Piège - Partie 12 - Version "IMAGE"



Version "IMAGE"


Cette Web série est une fiction.

Toute ressemblance avec des personnes 
ou des situations réelles ou ayant existées 
ne serait que pure coïncidence

Saison 4 

– Episode 3 –  LE PIEGE  


Partie 12 : Evidence


Résumé de la partie précédente : Les recherches des tireurs qui ont visé des policiers et des secouristes continuent dans le quartier d’affaires de Francfort. Les Forces Spéciales de la Police évacuent également les personnes qui sont confinées dans les immeubles… Deux fusils de précision ont cependant été trouvés.
La suite et fin, c’est maintenant…





Lou 44 : « Ici Lou 44, en direct de Francfort, pour TVZ… »


Lou 44 : « Cela va faire maintenant cinq heures que la deuxième attaque a eu lieu ici, dans le quartier des Affaires de Francfort et l'endroit est toujours cerné par la police et les militaires. »


Lou 44 : « Quatre policiers ont été blessés durant cette deuxième vague d’attaque. La police, avec l’aide de l’Armée, a fouillé chaque immeuble. Pour l’instant aucun suspect n'a été arrêté… Les autorités demandent aux habitants de Francfort de rester toujours confinés... »


Lou 44 : « Dans les autres Länder, les tirs qui ont eu lieu à BERLIN près du BUNDESTAG, ainsi que près des cathédrales de MUNICH et de HAMBOURG n’ont causé aucune victime. Il n’y a pas eu non plus d’arrestation de suspect, cependant les autorités allemandes préconisent de rester chez vous le temps que tout soit sécurisé. 


Lou 44 : « Nous vous tiendrons informés dès que nous aurons de nouvelles informations… C’était Lou 44 pour  TVZ. »


Au même moment, dans la cour de la Banque Fédérale d’Allemagne 
à Francfort.


Jurgen ADENOER : « Nous allons retourner dans la salle de commandement… »


Jurgen ADENOER : « Nous avons fouillé tous les immeubles dont les angles des tirs correspondent  au tir des snipers inconnus… Aucune trace des snipers, mais nous avons trouvé deux fusils avec lunettes dans ces endroits… »


Jurgen ADENOER : « Nous avons pris l’identité de toutes les personnes que nous avons exfiltré et qui sont encore sous notre garde. Nos analystes vont regarder chacun leurs antécédents sur notre fichier central… Les tireurs ont pu se mêler avec les personnes que nous avons évacuées… »

Oscar FINDER, chef du GSG9 : « Parfait… »


Deux jours plus tard, le Mercredi 2 mai, BERLIN, Direktion 11, 09h34


Oscar FINDER, chef du GSG9 : « Bonjour Jurgen… L’enquête avance sur l’attaque de la Tour SECHSECK. Vous vous rappelez de Hemut SPRILER du BfV, les renseignements intérieurs allemands, de la division 5 en charge des activités dangereuses et des activités extrémistes qui sont le fait d’étrangers ou proviennent de l’étranger…»

Jurgen ADENOER : « Oui, tout à fait. Cela fait une semaine que nous ne nous étions vu. A la recherche de voitures de luxe volées… »



Helmut SPRILER : « Oui… On ne va plus se quitter à ce rythme là… Nous avons l’identité des quatre tireurs qui ont abattu des salariés dans la salle des marchés de la Deutsche Citizen’s Bank. »


Helmut SPRILER : « Ce sont tous des allemands. Trois d’entre eux étaient connus pour s’être convertis à l’Islam radical ces dernières années. Ils avaient été repérés par notre service du Renseignement Intérieur, du BfV, de la division 6 en charge du terrorisme islamiste, mais ils n’avaient pas été jugés dangereux. Nous avons trouvé des sourates islamistes dans leurs gilets tactiques… »


Helmut SPRILER : « Le quatrième s’appelle Berny GULLMANN. Celui-ci était inconnu de nos services… Il travaillait comme homme de ménage dans plusieurs immeubles d’affaires de Francfort, dont la tour SECHSECK … » 


Helmut SPRILER : «C’est sa carte d’accès qui a servi à faire entrer les trois terroristes dans l’immeuble. On le voit d’ailleurs sur une vidéo de surveillance faire entrer les trois terroristes avec lui… Ce type d’attaque est inédite…»


Jurgen ADENOER : « En effet, et les moyens employés pour intervenir contre l’attaque de Francfort étaient impressionnants. Bloquez tous les grands centres allemands étaient aussi incroyable… »

Oscar FINDER: « En effet. Nos entrainements en 2017 nous ont permis de voir les moyens que nous devions déployer pour intervenir dans les Länder allemands. Quand on doit intervenir en ville face à une menace d’attaques multiples, on le fait forcément au milieu des immeubles et de la population. Le risque est grand. Si des combats violents avaient lieu en ville, les moyens utilisés seraient énormes pour déloger les assaillants : Dans des villes en guerre, en position de défense, il faut pratiquement 12 soldats pour en déloger un seul… »

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Oscar FINDER: « La France s’est aussi préparée à ce type de risque avec ses forces spéciales pour intervenir sur leur territoire en cas d’extrême nécessité… » »


Jurgen ADENOER : « Pourquoi votre division 5 chargée des activités extrémistes d’étrangers s’en occupe ? Ce ne devrait pas être votre cellule antiterroriste islamiste qui devrait le faire ? »

Helmut SPRILER : « Et bien c’est là que l’affaire devient intéressante. Les quatre tireurs ont tiré avec des fusils de type Kalachnikov… Les numéros de série étaient limés. Mais nos techniciens du KTU (les experts allemands d’enquêtes criminelles) ont réussi en mettant de l’acide sur les numéros de série effacés à ressortir en profondeur les numéros complets. »


Helmut SPRILER : «Comme d’ailleurs les deux fusils de précision d’origine russe retrouvés autour des immeubles et qui ont servi à tirer sur les quatre policiers qui ont été blessés. La balistique nous confirme que c’est bien ces fusils qui ont servi à tirer lors de la deuxième attaque… Nous avons envoyé ces numéros à INTERPOL et EUROPOL . Il s’agit d’armes qui ont disparus de stocks russes, il y a 3 ans. »


Helmut SPRILER : « à l’époque, c’est un lot de 300 fusils qui a été volé… Le FSB, les services de renseignements russes, ont eu de fortes présomptions que c’était une mafia russe, les VOLKI, qui était derrière ce trafic d’armes… »

Jurgen ADENOER : « LES VOLKI !!! Le groupe mafieux russe de BERLIN !!! »


Helmut SPRILER : « Oui… Nous pensons donc que ces armes ont été revendues par les VOLKI soit en lot, soit à la pièce… Nous allons donc rechercher en priorité dans les deux serveurs saisis dans leur bunker si ces numéros ressortent… »


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Oscar FINDER, chef du GSG9 : « Et nous allons lancer une grande chasse à l’homme pour retrouver le chef de cette mafia : Nikolaï KASPATINOFF… »


Le soir même, Siège de l’Association AKARA, dans la Banlieue EST de BERLIN


Monika MOBILI : « L’opération « PANIQUE » a fonctionné comme vous vous y attendiez votre Excellence. Les Autorités Allemandes ont bouclé, le temps de l’attaque, l’Allemagne entière…»


Monika MOBILI : « Les allemands vont avoir encore plus peur… »

L’homme à la veste verte : « Oui. C’était totalement prévisible… Cette montée du risque terroriste dans toutes les démocraties occidentales effraie leur population… Nous sommes parfaitement dans le timing de notre Grand Projet… Ah, EPSILON, tout s’est bien passé avec OMEGA ? »


EPSILON : « Oui votre Excellence. Nous avons laissé nos fusils comme vous l’aviez demandé… »

L’homme à la veste verte : « Parfait !!! Ils vont certainement maintenant rechercher le moindre détail sur cette attaque. Rien ne les mène à nous… Par contre, les armes vont les mener sur une fausse piste… AHAHAHAH !!! »


FIN DE CET EPISODE


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